Cadeau ou argent de poche pour un ado : la battle !

Quand vient l’adolescence, la question du cadeau que l’on offre est vite remise en cause : on est un peu dépassés par ce que peut aimer un ado, on ne sait pas trop par où commencer… se pose alors une question simple « Et si on offrait de l’argent ? ». Pour tenter d’y voir plus clair, Inzpok a mené l’enquête et tenté de déterminer les plus et les moins de chaque solution.

Cadeau, bonne ou mauvaise idée ?

Offrir un cadeau, c’est toujours plus marquant que donner une enveloppe ou faire un virement : ça montre qu’on est attentif aux goûts de l’adolescent et ça marque davantage l’occasion (on se souvient plus que tel cadeau nous a été offert à telle occasion par telle personne que des 20 euros qui ont été dispersés entre l’achat d’une BD et d’un pain au chocolat à la sortie des cours). En revanche, c’est plus compliqué à trouver et ça nécessite toute une organisation. Au pire, ça mobilise tout un samedi après-midi pour faire les magasins, au mieux ça demande à commander sur internet et à gérer la livraison… Bof bof.

Argent de poche, la solution magique ?

Pour celui qui offre comme pour celui qui reçoit, l’argent de poche, c’est très simple ! Simple à offrir (2 clics sont nécessaires pour cagnotter !), simple à dépenser (l’ado sait de combien il dispose, il surfe sur l’e-shop, choisit exactement ce dont il a envie, et hop !). En plus, en laissant l’ado faire ses propres choix de consommation, on le responsabilise et on le laisse être acteur, ce qui lui convient très bien ! Bien sûr, la solution n’est pas miraculeuse et comporte quelques petits bémols : une cagnotte marque peut-être moins les esprits (quoiqu’avec Inzpok on sait précisément qui a participé et à quelle hauteur) et permet moins de contrôler ce que l’ado décide de s’offrir (vous auriez préféré une encyclopédie, il opte pour Call of Duty : un cas classique !).

En conclusion, il n’y a pas vraiment de règle ni de grand gagnant à cette battle : le choix doit se faire en fonction de vos envies à vous, de celles de l’enfant, de vos habitudes de consommation, de la confiance qui vous lie. Alors, à qui attribuerez-vous le point final ?